Le décor des toiles de CORSI c’est le jeu, l’espace de jeu
que le comédien comble déjà. Les couleurs vives de la solitude éclairant les
labyrinthes sans cesse à découvrir, que le comédien seul anime, dont le
comédien revendique sans rêve le territoire.
Les toiles de CORSI délimitent un long itinéraire des temps
et des espaces théâtraux du Kabuki au Vieux-Colombier, de l’Athénée à l’Atelier.
Elles énoncent la nécessité des rencontres, des cultures et des expressions artistiques.
Serge BEHAR